Envente sur 1stDibs - Éléphant - Édition limitée - Impression surdimensionnée, Black-and-white Print, Silver Gelatin Print par Justin Creedy Smith. Proposé par Galerie Prints
Traductionde 'éléphant d'Asie' dans le dictionnaire français-anglais gratuit et beaucoup d'autres traductions anglaises dans le dictionnaire bab.la.
Providedto YouTube by Smithsonian Folkways RecordingsMonter sur un Éléphant · Hélène Baillargeon and Alan MillsChantons en Francais; Vol. 1, Part 1: French
COO9wY. Taille 5 m à 6 m pour les femelles et de 6,50 m à 7,50 m pour les mâles Hauteur au garrot 2,5 m à 3,5 m pour les femelles et de 3 m à 4 m pour les mâles Caractéristiques du corps Grandes oreilles, dos concave, défenses externes Poids 3 à 4,5 tonnes pour les femelles et de 5 à 8 tonnes pour les mâles Vitesse de pointe 40 km/h Poids / taille de la trompe La trompe mesure jusqu’à 1,15 m de longueur et pèse jusqu’à 130 kg Longueur des défenses Les défenses mesurent jusqu’à 3 m de long Couleur du pelage / peau Peau épaisse, de couleur grise, presque nue, dépourvue de poils Cri / bruit Le barrissement ; il barrit
Dimanche 16 décembre 2018. Nous revoilà donc à Siem Reap pour la troisième fois. C’est dire si cette ville et les temples d’Angkor tout proches, nous ont séduit. Nous nous réveillons doucement ce matin après avoir bien récupéré de la veille. Aujourd’hui, rien de prévu, on va simplement se balader et découvrir Siam Reap à pied. La sœur et le père de Marie arrivent demain soir. Il fait très chaud, déjà 33° à 10h. Après un gros petit déjeuner, nous partons visiter le centre-ville, nous nous frayons un chemin entre les différentes échoppes, pour le plus grand bonheur de Juliette, fana de bijoux en tous genres. Visiblement les enfants sont encore fatigués et ne tiennent pas forcément à marcher très longtemps, nous décidons donc d’aller nous poser dans un bar et d’avancer quelque peu l’heure de l’apéro. Mal nous a en pris, car dans ce bar trône une vespa historique sur laquelle les enfants n’ont cessé de grimper et de hurler pour le plus grand bonheur de nos nerfs. Après une bonne sieste, nous allons profiter de la piscine de l’hôtel pour nous rafraîchir. L’après-midi passe vite, on ne fait pas grand-chose jusqu’à l’heure de l’apéro, encore ! Justement pour l’apéro, nous retrouvons Flo et Margaux avec qui nous descendrons quelques bières. Puis direction Street Food, ce soir nous allons manger dans la rue dans une des très nombreuses petites échoppes présentes le long de la rivière. Au menu, différentes brochettes, Fried Rice, noodle, que nous avons tous partager à même les petites chaises pour enfants si caractéristique des Street Food. Lundi 17 décembre 2018. Ce matin nous retrouvons notre chauffeur Voutha, nous le connaissons depuis 2011 et avons à nouveau fait appel de ses services en 2015. Nous avons beaucoup de chance d’avoir rencontré Voutha, car c’est une personne merveilleuse. Quand nous l’avons rencontré en 2011, il commencait à être chauffeur de Tuk Tuk, Puis son affaire n’a cessé de progresser, il est maintenant chauffeur à temps complet sur la totalité du Cambodge avec de gros SUV ou mini bus. Il a bien voulu nous servir de guide et nous conduire partout où nous avons voulu aller lors de ces cinq jours passés à Siem-Reap. Vutha est gentil, Vutha est drôle, Vutha est toujours serviable, plein de bonnes suggestions et connait tous les bons plans. Aujourd’hui nous allons beaucoup rouler. Nous avons décidé d’aller visiter le temple de Preah Vear, tout au nord du Cambodge, à la frontière de la Thaïlande. Il faut trois heures pour ralier Siam Reap au temple de Preah Vear. La route est longue, pas très bonne, mais les enfants sont plutôt calmes et les longues discussions avec Vutha permettre de faire passer le temps assez rapidement. Sur les coups de midi nous arrivons enfin au pied de la montagne. Car ce temple se situe tout en haut d’un plateau offrant une vue dégagée sur la plaine nord cambodgienne. Un rapide repas englouti, nous devons nous faire accompagner en 4×4 par les militaires pour monter au sommet. Les militaires, je comprend, car cette zone est disputée entre le Cambodge et la Thaïlande depuis des décennies. Lors de nos précédentes visites il était interdit aux touristes d’y accéder, car des combats il y avait encore lieu. Les 4×4, c’est dans la montée que nous avons compris leur utilité. La route qui mène au sommet est en effet particulièrement cahoteuse et surtout extrêmement raide. Nous avons eu tout le mal du monde à rester dans la benne du 4×4 sans en tomber. Arrivés au sommet, nous découvrons le temple. Celui-ci s’étire tout en longueur sur quasiment 1 km, mais surtout tout en montée. Nous progressons donc lentement, en plein soleil, vers le temple principal, et surtout l’attraction principale , c’est-à -dire la vue sur la plaine. Le temple lui-même n’a rien de particulier, de très nombreux temples sont bien plus beaux. Les abords du temple regorgent de petits bunkers, témoignant des affrontements encore récents. À quelques centaines de mètres, nous distinguons également les positions thaïlandaises. Arrivés tout au bout du temple, et donc au bord de la falaise, la vue est magnifique. Nous pouvons admirer la plaine sur plusieurs dizaines de kilomètres. C’est assez impressionnant, car cette chaîne de montagnes qui vient de Thaïlande, se casse brutalement à la frontière avec le Cambodge et donc la pleine cambodgienne. La descente en 4×4 sera tout aussi compliquée, cette fois il faudra bien s’accrocher pour éviter d’être éjecté vers l’avant. Nous reprenons maintenant la route jusqu’au temple de Ko Ker. Deux heures de route nous attendent maintenant. Les enfants font la sieste, nous, nous discutons toujours avec Vutha. Nous arrivons à Ko Ker tout juste avant le coucher de soleil, ce qui était le but de notre visite ici. Nous passons par un premier petit groupe de temples à moitié détruits est entièrement encerclés par la végétation, c’est magnifique. Quelques kilomètres plus loin, nous arrivons au temple principal de Ko Ker, celui-ci a la forme d’une pyramide. Le coucher de soleil a lieu dans 10 minutes, nous sommes les derniers sur le site, il n’y a personne, c’est royal. Des escaliers en bois sont installés sur le côté de la pyramide pour vous pour arriver au sommet mais la montée est tout de même épuisante, surtout que la chaleur humide de la jungle se fait encore sentir. Au sommet, le soleil s’apprête à se coucher. Nous surplombons la jungle. Nous restons là de longues minutes à observer le soleil orange/rouge sang, finir de disparaître à l’horizon dans une multitude de couleurs. Il faut maintenant rentrer à Siem Reap, deux heures de route nous attendent encore. Maintenant les enfants sont un petit peu moins coopérant. La journée a été longue pour eux, ils ont la bougeotte. La nuit est tombée, et nous nous rendons encore une fois compte de la difficulté à rouler sur les routes cambodgiennes la nuit. Il n’y a pas d’éclairage, les routes sont étroites, en mauvais état. Mais surtout, les motos, mobylettes, et petits tracteurs roulent n’importe comment et sans lumière. À plusieurs reprises Vutha est arrivé à éviter in extremis différents engins qui sont apparus dans ses phares au dernier moment. Nous arrivons finalement à presque 20heures à l’hôtel, où nous retrouvons Hélène et Jean-Pierre, arrivés 30 minutes plutôt, depuis Hanoi. Les enfants sautent de joie de les revoir. Nous ressortons illico pour boire et manger. Nous nous installons une fois de plus dans Pub Street pour profiter des bières à 0,50 € et des cocktails à 2,50 $. En demandant des nouvelles à Flo et Margaux, je me rends compte que nous sommes attablés à 5 m d’eux. C’est leur dernière soirée à Siem-Reap, ils partent demain pour Battambang, qui sera également notre prochaine étape. Mardi 18 décembre 2018. Aujourd’hui nous allons faire découvrir les temples d’Angkor à Jean Pierre et Hélène. Nous avons commencé par visiter la grande citée d’Angkor Thom. Après un rapide passage pour admirer la porte d’entrée de la citée au sud, nous attaquons avec un gros morceau, le temple du Bayon. Ce temple est connu à cause des centaines de visages identiques, visages du roi qui l’a bâti, Jayavarman VII C’est là que nous nous apercevons que nous sommes effectivement en saison haute, le temple est plein à craquer, surtout de groupes de touristes chinois. Ceci font la queue pour tous se prendre en photo dans les mêmes positions. Nous nous frayons difficilement des passages entre eux pour tenter de visiter ce temple tout de même. Nous continuons notre ballade dans le reste de la citée en passant par les temples Pinakeas, du Baphun et son bouddha couché, pour finir sur la terrasse des éléphants et la terrasse du roi lépreux face à la grande esplanade centrale. Il est déjà 13 heures quand nous allons rapidement manger. Nous repartons ensuite pour la visite d’un très gros morceau le temple d’Angkor Vat, ce temple est le plus grand des temples d’Angkor. Thom est fatigué, c’est l’heure de la sieste. Je décide de rester avec lui dans la voiture pour l’endormir pendant que les autres partent visiter le temple. Thomas était très fatigué il ne lui faudra que 5 minutes pour s’endormir confortablement couché dans la voiture climatisée. Vutha me propose donc de veiller sur lui pendant que je rejoins les autres. Je m’empresse donc de partir à l’assaut du temple, je pense que mon timing était assez bon car je suis passé entre plusieurs groupes de touristes. J’arrive donc sur différents points intéressants du temple quasiment seul, ce qui me permet de faire de belles photos sans avoir 100 touristes dessus. Je ne retrouve pas tout de suite les autres, j’en profite donc pour me diriger vers la tour centrale. Pour monter sur cette tour, il faut faire la queue, et souvent longtemps. Mais j’ai de la chance il y a 15 personnes devant moi et j’arrive à monter en moins de cinq minutes. Du haut de la tour centrale on peut apercevoir tout le temple et les alentours. En redescendant, je tombe par hasard sur Jean Pierre, Hélène, Marie et Juliette. Cette dernière étant fatiguée, je décide de rentrer avec elle et de la ramener à la voiture. Mais sur le retour nous passons par des lieux connus où nous avions pris de très belles photos avec Juliette lors de notre première expédition à Angkor en 2015. Je recherche les endroits exacts où ont été prise les photos pour tenter de les reproduire plus de quatre ans après. Encore une fois, timing parfait, car lorsque nous rejoignons la voiture, Thomas vient tout juste de se réveiller et joue au timide avec Vutha. Le reste du groupe ne tardera pas à nous rejoindre, et nous retournons à l’hôtel après cette journée de visite bien chargée. Tout le monde a besoin d’une très bonne douche pour se rafraîchir. Puis la routine habituelle, apéro, et cette fois nous allons emmener Hélène et Jean Pierre manger dans la rue. Encore une fois un repas délicieux sur le pouce à même les bancs. Mercredi 19 décembre 2018. Ce matin réveil à 4h. Nous partons pour observer le lever de soleil sur le temple d’Angkor Vat. Nous quittons l’hôtel à 4h45, les enfants sont dans les choux, mais les adultes sont vaillant. C’est à la lumière des frontales que nous pénétrons sur le site du temple, il y a déjà beaucoup de monde, mais nous parvenons tout de même à nous trouver une place en deuxième ligne pour observer ce phénomène qui attire tant de monde. Le ciel est nuageux, cela se ne s’annonce pas très bien. Et puis surtout, c’est la troisième fois que nous venons ici, et on a toujours pas compris, pas la peine de venir trop tôt, les plus belles couleurs n’apparaissant qu’après 6h30. Et encore une fois ça n’a pas manqué, la foule est dense, c’est le concours de selfies, on se pousse pour garder sa place mais pour des photos pas très réussies. Quand les touristes commencent enfin à partir, nous patientons encore, et c’est là , justement que le ciel se déchire et que le soleil nous offre de magnifiques couleurs pour illuminer le temple et produire ce magnifique reflet dans les bassins qui le bordent. Les enfants n’étaient pas très content de passer plus de deux heures assis à ne rien faire. Nous allons prendre un petit déjeuner dans les restaurants proches pour les requinquer. Nous partons alors pour visiter le temple du Ta Prohm. Hélas, c’est le drame. Plus que jamais, nous allons maintenant sentir l’influence de la très haute saison à Angkor, Le temple de Ta Prohm a été rendu célèbre par le film Tomb Raider et est une attraction touristiques des plus courues. Mais là , c’est atroce. Nous arrivons dans le temple en même temps qu’un groupe de chinoises, une bonne centaine, toutes habillées en rouge. Celles-ci vont alors prendre d’assaut le temple, créant des bouchons dans les allées et les passages, pour se photographier les une les autres et la manière de top-models. Tout ça dans une cacophonie monstrueuse. Le temple de Ta Prohm est magnifique, celui-ci est à moitié détruit et laisser en l’état de sa découverte. les arbres et les racines encerclent les pierres et détruisent les édifices. Même si de nombreuses restauration sont en cours, c’est un des temples les plus authentique. Lors de notre première visite en 2011, j’ai pu prendre une photo de Marie à un endroit bien spécial, en 2015 j’ai pu refaire cette photo avec Juliette en plus. Aujourd’hui je vais donc essayer de faire encore la même photo mais avec Thomas en plus. Malheureusement l’endroit de la photo n’est plus accessible, Il y a maintenant une estrade installée devant les barrières, justement pour se prendre en photo, mais il n’est plus possible de pénétrer à l’intérieur du bâtiment. C’était déjà le cas en 2015, mais comme nous étions seuls dans le temple Marie avait pu se faufiler à l’intérieur en toute discrétion. Aujourd’hui ce n’est pas imaginable, nous sommes entourés d’une cinquantaine de personnes. Tant pis, la photo est faite mais le cadrage sera légèrement différent. La visite terminée, nous nous dirigeons vers un restaurant. Les enfants sont fatigués et n’ont pas vraiment faim, heureusement il y a un grand nombre de hamacs à disposition des clients et les enfants passeront une bonne heure à jouer dedans en compagnie de Vutha, encore merci à lui. Nous nous arrêtons ensuite pour visiter un petit temple dont j’ai oublié le nom, puis un second. Celui-ci est situé au milieu d’un bassin accessible par une passerelle en bois, l’endroit est magnifique avec le soleil qui se reflète dans l’eau et un nombre impressionnant de troncs d’arbre morts émergeant de l’eau. Pour finir l’après-midi nous arrivons au Preah Kahn, un autre grand temple en partie détruit, également avec de nombreux arbres impressionnants. Nous sommes tous fatigués et dégoulinant de transpiration, la visite sera donc rapide. Mais Juliette et moi en profiterons pour prendre des chemins de traverse, pour escalader quelques pierres pour son plus grand bonheur. Jeudi 20 décembre 2018. Au programme de cette dernière journée à Siem Reap, la visite de deux temples, le Bantey Srei, où le temple des femmes et le Beng Melea. Après une heure de route, nous arrivons sous la fournaise du Bantey Srei. Ce Temple finement sculpté est très différent des autres. D’une part, il est excentré du site principal d’Angkor, ensuite il est d’une taille très modeste, et surtout les sculptures qui ornent c’est murs sont extrêmement fines et particulièrement bien conservées. Ce temple est en plein soleil, la visite sera donc rapide car il fait extrêmement chaud. Nous reprenons la voiture pour une nouvelle heure de route jusqu’au Beng Melea. Ce temple figure parmi mes favoris, celui-ci a servi de décors au film de Jean-Jacques Anaud, Deux frères. Construit sur le modèle d’Angkor Vat, le Beng Melea est tout aussi vaste que celui-ci. Ce temple a entièrement été laissé à l’abandon dans la jungle, le déboisement a été minimal, il est quasiment entièrement effondré. Seuls quelques passerelles, qui ont servi à déplacer les caméras lors du tournage du film, ont été rajoutés. Mais, alors que lors de nos précédentes visites, nous pouvions nous faufiler un petit peu partout dans le temple, la visite devait se faire en escaladant des pierres, et on se frayant le chemin sous les voûtes à moitié effondrées. Mais quelle ne fut pas ma surprise en arrivant, car dorénavant, la visite se limite aux passerelles. Il n’est plus possible de descendre dans la cour du temple. Nous sommes obligés de suivre le chemin tout tracé, il n’y a plus de place pour l’aventure. Juliette, qui se faisait une joie de jouer à l’aventurière dans ce temple, est déçue, tout comme moi. Le temple n’en reste pas moins fascinant, entre ses murs effondrés, la jungle environnante, et les bruits des animaux, il y a déjà de quoi faire. Mais ce n’est plus pareil. Vutha nous apprendra que ces 2 dernières années, de nombreux touristes ont eu des accidents dans ce temple, et une partie du chemin historique s’est également effondré. Sur le retour, nous croisons les petits stands de Kror Lan sur le bord de la route. Il s’agit de morceau de bambou dans lequel est cuit du riz gluant, haricots noirs et du lait de coco. Cette friandise est délicieuse. Mais étrangement on n’en trouve que sur cette portion de route. La journée n’est pas finie, et pourtant déjà bien remplie. Nous avons décidé d’aller observer le coucher de soleil sur le lac Tonlé Sap. Nous roulons jusqu’à l’embarcadère, sortons dans un vieux bateau et c’est parti. Pendant 10 minutes nous empruntons le chenal jusqu’au lac, et passons par un village flottant. Quand tout d’un coup, le moteur cale, le capitaine ne dirige plus rien et vient s’encastrer dans une des maisons flottantes. Il y a visiblement un problème. Le capitaine se démène pour amarrer son bateau et tenter de comprendre ce qui se passe. Il faut dire que le bateau est particulièrement rudimentaire. Au volant, oui au volant et pas au gouvernail, sont accrochés de cordes, qui vont tirer à droite ou à gauche pour diriger l’hélice. C’est visiblement à ce niveau là qui est un souci. Les habitants du coin remarquent notre présence et viennent donner un coup de main à notre capitaine. Il sera alors très drôle de les observer tenter de réparer le bateau, à grands coups de masse sur l’hélice, et en tentant de souder une pièce qui visiblement ne posait pas problème. Je n’ai pas compris cette partie de la réparation. Nous repartons tant bien que mal, mais seulement pour cinq minutes. Notre capitaine nous largue sur un resto flottant en tentant de nous faire comprendre que le bateau est cassé, et qu’il nous en envoie un autre nous chercher. Nous en profitons pour boire un coup et attendre son retour. Mais le coucher du soleil approche et le propriétaire du resto nous fait monter dans le bateau d’une famille indienne qui veut bien nous accueillir. Nous partons rapidement, car le coucher de soleil est proche. Effectivement une fois sortis des méandre nous arrivons sur les vastes étendues d’eau du Tonlé Sap. Le soleil est quasiment à l’horizon. Nous avons la chance de l’observer cinq minutes s’enfoncer dans les eaux du lac. Le Tonlé Sap est le 2e plus grand lac d’Asie, et celui ci a la particularité de se remplir et de se vider en fonction. De la mousson. Sa superficie peut être multipliée par 5 lors de la saison des pluies. Nous faisons maintenant demi-tour et c’est parti pour une heure de navigation vers notre point de départ. La nuit est tombée, des dizaines de bateaux se suivent à la que leu leu jusqu’à l’embarcadère. On ne voit pas grand-chose mais on sent les gas d’échappements de tous les bateaux qui nous précèdent, l’air est irrespirable, les moustiques commencent à nous attaquer. Quand soudain un bateau qui nous double hurle à notre nouveau capitaine, nous nous retournons, et effectivement, une épaisse fumée se dégage du moteur. Il coupe le moteur immédiatement, se précipite à l’arrière, et cela ne manque pas, le bateau s’échoue sur la rive. Cette fois la cause de la panne est visible, la durite de refroidissement du moteur s’est arrachée. Notre nouvel ami indien et moi-même éclairons le capitaine pendant sa réparation. Nous pouvons repartir, dans le noir sur la rive, j’aperçois Vutha qui nous attend. J’essaye de lui faire des signaux lumineux avec mon téléphone et de l’appeler, mais les bruits du bateau sont trop forts il ne nous entendra pas. Nous débarquons finalement 500 m plus loin, dans le noir. Je marche rapidement dans sa direction en tentant de le contacter avec mon téléphone, nous arrivons finalement nous retrouver et récupérer le reste de la famille. Il nous faudra encore plus d’une heure et demie pour rejoindre l’hôtel et enfin se reposer.. Ce sera donc notre dernière soirée ici, pour notre troisième visite. On pourrait croire qu’une certaine lassitude s’est installée à visiter tellement de fois cet endroit, mais au contraire, je les trouve toujours aussi magnifiques et je me suis pas ennuyé une seule seconde. À coup sûr, j’essaierai de revenir un jour pour les voir une quatrième fois, mais pas tout de suite. Et surtout je me demande comment va bien pouvoir évoluer la visite de ces temples avec l’influence croissante des touristes qui, de plus en plus, les rendent suffocants. Je suis aussi extrêmement content d’avoir ramené Juliette ici après sa visite de 2015, elle était encore un petit peu petite, même elle se souvient de beaucoup de choses. Mais cette fois elle a vraiment pris conscience de la taille de ses temples et de leur beauté.
Comment reconnaître l’ivoire ? Législation sur la vente et l’achat d’objets de brocante et d’antiquités en ivoire. La législation c’est durcie à juste raison pour cause la protection des espèces. Savoir reconnaître l’ivoire facilement ? Méthodes et législation Le sujet de ce jour est comment reconnaître l’ivoire avec plusieurs méthodes qui ont fait leurs preuves. Ces méthodes s’avèrent facilement utilisables. A la fin de cette article j’aborde la législation sur l’ivoire en Europe qui régit le commerce d’ivoire ancien et récent. Cet article » comment reconnaître l’ivoire » et » la législation sur l’ivoire » est très complet. Son utilité n’est plus à démontrer, le nombre de commentaires en fin de page l’atteste. Pourquoi cet article sur comment reconnaître l’ivoire ? Les antiquaires où les brocanteurs sont en première ligne pour l’achat et la vente d’objets en ivoire lors de débarras maisons suite à des successions. Un professionnel ne peut pas se tromper sur la nature de l’objet. Il saura faire la différence entre la résine, l’os et l’ivoire et aussi plus ou moins dater l’objet. La législation c’est durcie A JUSTE RAISON. Il faut absolument préserver les espèces animales.. L’ivoire matériau issu de l’animal L’ivoire est un matériau naturel, issu de l’animal, notamment les défenses d’éléphant. Les humains l’utilisent depuis des milliers d’années pour fabriquer des sculptures et des petits objets usuels comme en arts populaire ou artistiques comme les sculptures. Par exemple, le narval, le cachalot, le morse, l’hippopotame, le rhinocéros, l’éléphant au dépend de leur volonté sont les animaux qui fournissent l’ somme, la surexploitation de ce matériau du au braconnage a mis en péril la survie des espèces animales qui portent en elles ce matériau précieux comme les éléphants massacrés pour leurs défenses.. De ce fait, L’art et la tuerie en masse d’animaux est-ce bien compatible ?C’est pourquoi la Convention de Washington de 1973 CITES à juste raison a mis un cadre stricte au commerce de l’ivoire. Nous reviendrons plus tard, en fin de page, sur la législation encadrant la vente de l’ivoire qui a pour but de préserver les espèces animales. Comment reconnaître l’ivoire ?Portrait de 2 abrutis qui ont tué un éléphant pour son ivoire. Les objets qui furent fabriqués en ivoire Reconnaître l’ivoire présent dans ces objets est très important. Vous allez souvent les rencontrer si vous organisez une succession. Les sculpturesLes manches de couvertsLes lames de coupes papierLes touches de pianoLes boules de billardLes peignesLes boutonsLes pièces d’échecLes éventailsUstensiles de couture, dés à coudre, dévidoir…Et bien d’autres objets. Ivoire véritable de Dieppe 19 e siècle Comment reconnaître l’ivoire des autres matériaux Plusieurs matériaux servirent à imiter l’ivoire avant car il s’avérait très cher et encore plus aujourd’hui car il est interdit à la vente. L’ivoire végétal, le corozo est le noyau du fruit d’une variété de est de la poudre d’ivoire reconstitués agglomérée par un liant et moulé. Mais aussi interdit à la vente aujourd’hui…Le celluloïd à partir de 1873 est une matière chimique composée de nitrate de cellulose et de camphre. C’est pour ainsi dire le premier plastique. Ce qui veut dire tout ce qui ressemble à de l’ivoire avant cette date est sûrement de l’ivoire ..!L’ivoire s’imita à partir de caséine ou de résine. 3 méthodes pour reconnaître l’ivoire D’ailleurs reconnaître l’ivoire devient facile avec ces trois méthodes. Tout d’abord, bien regarder sa couleur et sa l’épingle chauffée avec un tout simplement consulter un professionnel antiquaire ou brocanteur. La première méthode couleur et texture Reconnaître l’ivoire de par sa couleur et texture. Quand vous avez un objet en ivoire dans la main vous devez sentir sa densité et son poids. Si l’objet est léger ce n’est pas de l’ivoire. Une boule de billard en ivoire et très lourde et est extrêmement lisse si la surface est bosselée ce n’est pas de l’ivoire mais sûrement de l’os. L’ivoire véritable est brillant sans grêlures avec parfois une légère teinte la loupe vous verrez des lignes parallèles irrégulières sur toute la longueur de l’objet. Perpendiculaires à ces lignes, il doit y voir des lignes circulaires ou en V appelées lignes de Schreger. Ces lignes se retrouvent systématiquement sur l’ivoire d’éléphant et de mammouth. Si les lignes se trouvent régulières et parallèles, c’est du celluloïd comme l’exemple sur la photo. Celluloïd faux ivoire Porte aiguille en os La deuxième méthode l’épreuve du feu Reconnaître l’ivoire par l’épreuve du feu. Faîte attention à ne pas détériorer votre objet, il peut avoir de la valeur même si ce n’est pas de l’ivoire. Choisissez un endroit à tester sur l’objet le plus invisible possible. Faites chauffer au rouge une épingle très fine avec un briquet. Présentez l’épingle et enfoncez là ! Que se passe-t-il ? l’épingle s’enfonce dans l’objet ! Ce n’est pas de l’ivoire ! C’est sûrement du celluloïd ou tout autre matière comme la bakélite. Mais attention, votre objet ancien peut avoir autant de valeur que l’ivoire alors ne faites pas des trous d’épingle partout… 🙂L’épingle ne rentre pas c’est sûrement de l’ivoire ou de l’os 🙂 . Aucune senteur nouvelle c’est assurément de l’ivoire. Ça sent le cheveu brûlé c’est de l’os. Son aspect visuel, sa texture, son poids, sa densité et le test de l’aiguille chauffée qui n’a pas endommagé votre objet. Vous avez entre les mains de l’ivoire. Bravo’ ! La troisième méthode comment reconnaître l’ivoire avec un brocanteur ou un antiquaire Allez voir un brocanteur ou un antiquaire, il saura reconnaître l’ivoire. Faites tester et estimer l’objet par un professionnel. Comment reconnaître l’ivoire pour un antiquaire ou un brocanteur est une affaire facile. Par la force de l’habitude, au premier coup d’œil, le professionnel va différencier l’ivoire des autres matériaux comme le plastique, le celluloïd ou la bakélite. Il est indéniable que par ses connaissances des matières nobles et son savoir faire il saura faire la différence. Mais aussi, il peut utiliser les méthodes expliquées en haut en cas de doute. Législation interdiction de la vente d’ivoire pour préserver les espèces animales Arrêté du 17 août 2016 publié au Journal officiel La législation sur le commerce de l’ivoire c’est durcie. Elle concerne tous les éléphants et les rhinocéros qu’ils soient d’Afrique ou d’Asie. Dérogations prévues à cette interdiction pour les objets d’antiquités A savoir la détention à titre privé d’ivoire et de corne reste libre dixit le ministère. Donc tous les objets travaillés après le 1 juillet 1975 sont interdit à la vente, dû à la mise en application de la convention de Washington de 1973. Notons au passage que la vente d’ivoire brut non travaillé est totalement interdit et même quelque soit son âge. Par conséquent, se considèrent objets d’antiquités, les objets fabriqués avant le 1 juillet 1975. Les objets d’antiquités datant de mars 1947 au 1 juillet 1975 peuvent se vendre sous réserve d’avoir obtenu au cas par cas le certificat intra-UE CIC.Les objets d’antiquités d’avant mars 1947 sont autorisés à la vente sans certificat intra-UE CIC. Mais il est préférable même conseillé, d’avoir un certificat ou attestation prouvant la date de fabrication de l’objet. Il ne doit y avoir aucune contestation au sujet de sa provenance et de sa date de création. Nos amis douaniers sont au fait de la lutte contre le commerce illégal d’ivoire et la lutte contre le trafic des espèces animales et végétales menacées d’extinction. Attention la législation sur l’ivoire a évolué nouvel arrêté du 4 mai 2017 modifiant l’arrêté du 16 août 2016 La législation sur l’ivoire change de nouveau. Consulter la page sur Je n’achète pas d’objets en ivoirelors de successions ou autres Pour ma part, à moins de tomber sur une pièce en ivoire très ancienne vraiment exceptionnelle dont la nature artistique ne fait aucun doute nos musées en regorgent , je n’achète pas d’objets en ivoire. Beaucoup de mes confrères antiquaires et brocanteurs ont le même point de vue que le mien. De toute façon sans parler d’éthique le vendre dans une boutique d’antiquités ou sur foires ou salons professionnels est totalement interdit. Je ne fais aucune estimation d’objets en ivoire Dans la mesure ou la vente est interdite, je n’estime pas les objets en plus, si l’éthique s’en mêle, mettons une petite pierre à l’édifice de la protection animale. De toute façon, le domaine de l’antiquité étant vaste, nous pouvons nous en passer. Alors, lors de successions, si vous avez des bijoux de famille en ivoire, ou autres objets relativement récents gardez-les et transmettez ce patrimoine à vos enfants. S’ils n’en veulent pas, rapprochez-vous des douanes. Sur le même thème reconnaître les matériaux précieux En suivant ce lien vous saurez comment distinguer l’or du suivant aussi ce lien comment savoir si c’est du métal argenté ou de l’argent. L’article comment reconnaître l’ivoire et sa législation » vous a plu ? Alors n’hésitez pas à le partager!
Kandy est l’une des villes les plus importantes du Sri Lanka. Elle fait partie du Triangle culturel du Sri Lanka, dont elle constitue l’une des trois pointes avec Anuradhapura et Polonnaruwa. Le Triangle culturel accueille des sites d’importance culturelle majeure. Kandy fut la dernière capitale royale du pays et accueille le célèbre Temple de la Dent du Bouddha la ville sacrée de Kandy est d’ailleurs classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Je vous recommande de visiter Kandy, mais pas d’y rester trop longtemps. Pour être honnête, ce n’est pas une ville que j’apprécie beaucoup. Alors qu’elle était autrefois apparemment réputée pour son calme, Kandy est désormais une ville très encombrée, avec des embouteillages à toute heure. Il faut dire que le centre-ville n’est pas immense, situé au fond d’une cuvette et qu’un grand lac se trouve en son centre tout ceci rend la circulation très difficile. C’est l’impression que j’avais eue lorsque j’y étais allée en février, mais j’y étais passée rapidement et m’étais dit que j’en avais peut-être eu une fausse image. Mais cette sensation s’est confirmée lorsque j’y suis retournée en août, et les locaux avec qui j’en ai parlé partageaient mon sentiment. Même des natifs de Kandy disaient qu’ils n’appréciaient plus de vivre ici tellement la ville est chargée Colombo semble presque calme à côté ! A noter aussi, le climat est souvent brumeux voire pluvieux à Kandy c’est l’effet cuvette 😉 Le lac, dont on pense qu’il pourrait apporter une certaine sérénité à la ville, ne suffit clairement pas à la rendre accueillante à mes yeux parcourir les rives du lac à pied n’a rien d’agréable, celui-ci étant toujours bordé d’une route passante. J’ai parfois lu que la promenade était bucolique, ce n’est vraiment pas le mot que j’emploierais pour la qualifier… Cela étant dit, Kandy est loin d’être dénuée d’intérêt. Voici plusieurs idées de choses à faire à Kandy pour profiter au mieux de votre séjour ! 1. Visiter le Temple de la Dent2. Faire un tour au Marché de Kandy3. Se promener dans le Jardin Botanique de Kandy4. Faire le plein de souvenirs chez Selyn5. Visiter le Centre d’Art et de Culture Suriyakantha6. Faire un soin d’Ayurveda7. Visiter un Jardin d’épices à Matale8. Assister à un spectacle de danses9. Assister à l’Esala Perahera10. S’immerger dans la vie locale grâce à l’agence J’aime Le MondeBonnes adresses à KandyHôtels à Kandy – Où dormir?Gruhaya HotelGrand Kandyan HotelCafés et restaurants à Kandy – Où manger?Jus de FruitsEmpire cafeCafé WalkAccès venir à Kandy / partir de KandyVous préparez votre voyage au Sri Lanka? 1. Visiter le Temple de la Dent Le Temple de la Dent du Bouddha Sri Dalada Maligawa est la visite incontournable de Kandy. Pourquoi un tel nom? Tout simplement car ce temple abrite une relique d’une dent de Bouddha. Cette relique en fait l’un des lieux les plus sacrés du Bouddhisme au Sri Lanka, et toute personne essaie d’aller y faire un pèlerinage au moins une fois dans sa vie. Il est possible de visiter le Temple de la Dent mais pas de voir la relique, qui fait bien sûr l’objet d’une importante protection la boîte n’est ouverte qu’une fois tous les 5 ans et ne sort du temple que quelques fois dans l’année! Le temple est situé au coeur de l’Ancien Palais Royal de Kandy. Si vous visitez le Temple de la Dent, cela vaut d’ailleurs le coup d’y aller à l’heure d’une des cérémonies quotidiennes de prières et d’offrandes appelés puja/pooja ou thevava, qui ont lieu 3 fois par jour à 5h30, 9h30 et 18h30 et reflètent toute la ferveur du bouddhisme. Attention, attendez-vous à une foule impressionnante sauf à celle de 5h30 a priori, où c’est plus calme!. Je n’ai sans doute pas compris la subtilité de tout ce qui se passait mais, pour résumer, c’est un rituel durant lequel des offrandes sont faites à Bouddha à sa relique, symboliquement, qui attire énormément de monde et qui implique des tambourineurs et joueurs de flûte. Les portes de la chambre abritant la relique située au premier étage sont ouvertes afin que les fidèles puissent l’apercevoir apercevoir le reliquaire, mais pas la dent elle-même qui reste abritée dans six épaisseurs de coffrets gigognes et des moines recueillent les offrandes portées par l’impressionnante foule qui défile dans le Temple. Certains touristes font le choix d’acheter aussi des offrandes pour participer c’est possible mais de mon côté je ne l’ai pas fait, jugeant inadapté de participer à quelque chose que je ne comprends pas totalement. Toutefois, le choix inverse se comprend aussi, c’est à chacun de décider ! Cela ne m’a en tout cas pas empêchée d’apprécier la cérémonie, qui n’est pas du tout un spectacle pour touristes, je tiens à le préciser. Voir la ferveur des croyants qui y participent et avoir la chance de pouvoir être présent permet de se plonger un peu plus dans la culture du pays. J’ai aussi aimé l’atmosphère particulière du coucher de soleil au Temple de la Dent cela n’a rien à voir avec le milieu de la journée, cela donne au lieu un caractère plus sacré. En dehors des cérémonies, le Temple de la Dent est relativement calme il y a beaucoup de visiteurs, bien sûr, mais rien à , voir avec la ferveur des lieux lors des cérémonies. À toute heure, des gens s’installent et prient. Il faut vraiment respecter le silence des lieux car, même si cela ressemble à un site touristique classique », il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un lieu de culte d’importance majeure et que beaucoup de gens présents viennent s’y recueillir. Au delà du bâtiment principal du temple, on trouve d’autres bâtiments appartenant à l’ancien complexe royal. Il y a notamment l’ancienne salle d’audience en bois sculpté, ou encore une petite salle accueillant Raja, un éléphant empaillé il s’agit d’un éléphant tellement célèbre qu’il a été déclaré Trésor national et qu’une journée de deuil a été observée dans le pays à son décès! Il a transporté la sainte relique de la dent du Bouddha dans la ville lors de l’Esala Perahera pendant plus de 50 ans… Juste à côté du Temple de la Dent se trouvent aussi plusieurs autres temples je ne les ai pas tous visités mais me suis promenée dans le parc les entourant, m’arrêtant ici et là . Dernière chose pensez à couvrir vos épaules et vos genoux pour visiter tous ces temples! Vous cherchez une agence pour organiser votre voyage? Je peux vous conseiller la plateforme Evaneos, qui met en relation des particuliers et des agences locales dans différents pays. Un super système car les agences sont rigoureusement sélectionnées et le prix payé va en grande majorité à l'agence locale on bénéficie ainsi de l'expérience d'un habitant et on fait vivre l'économie du pays! Evaneos permet de construire votre itinéraire sur mesure. Un échange avec l'agent local permet de lui expliquer votre style de voyage, ce que vous aimez faire, voir, etc. J'ai pu tester les services d'Evaneos lors d'un voyage au Sénégal et en ai été très satisfaite! Demandez un devis gratuit ici pour le Sri Lanka Si vous faites une demande de devis via ce lien, je recevrai une petite commission mais vous ne paierez pas plus cher. Merci d'avance, cela m'aide à continuer ce blog! 🙂 2. Faire un tour au Marché de Kandy Il est sympa d’aller faire un tour au Marché de Kandy comme dans tous les marchés, vous me direz !. On trouve un bâtiment accueillant des boutiques d’épices, fruits et légumes, sacs, et petits objets mais aussi, à l’extérieur, des stands divers. Dans le quartier tout autour, de nombreuses ruelles abritent également de nombreuses échoppes de vêtements. L’ambiance y est assez marrante les vendeurs crient à tue-tête et il y a pas mal de locaux se ruant sur des piles de vêtements sans doute de bonnes affaires à la clé !. Globalement, c’est bien touristique et on se fait vraiment alpaguer en passant, ce qui rend la balade un peu casse-pied je n’ai ressenti cela qu’à Kandy en fait, d’habitude au Sri Lanka on est assez tranquille je trouve, mais cela m’a tout de même amusée. 3. Se promener dans le Jardin Botanique de Kandy Le Jardin Botanique de Peradeniya est très renommé il n’est en réalité pas à Kandy mais à Peradeniya, à 6 kilomètres au sud-ouest de Kandy. Même si je n’y connais rien en botanique, j’ai eu envie d’aller m’y promener par curiosité. J’ai bien fait, ce parc est vraiment un bel endroit, dont on apprécie particulièrement le calme après l’agitation de Kandy ! On peut s’y balader un moment c’est très grand et agréable. Les locaux ne s’y trompent d’ailleurs pas, on y croise de nombreuses familles venues y passer l’après-midi. J’y suis allée en tuk-tuk mais on peut aussi y accéder en bus depuis Kandy. 4. Faire le plein de souvenirs chez Selyn MA boutique coup de cœur du voyage Selyn, seule boutique labellisée commerce équitable du Sri Lanka. On y trouve plein de jolies choses faites à partir de coton bio, tellement jolies que j’en suis repartie avec des cadeaux de Noël pour presque toute la famille petits et grands !. 5. Visiter le Centre d’Art et de Culture Suriyakantha Voilà le coup de cœur de mon séjour à Kandy, et l’un des coups de cœur de mon voyage ! Le Centre d’Art et de Culture Suriyakantha est la maison d’un passionné de culture sri lankaise le Docteur Jacques Soulié, ancien psychiatre puis enseignant à l’Université de Kandy. Tombé amoureux du Sri Lanka, il s’y est installé il y a une vingtaine d’années, a rénové une magnifique maison et y a installé une collection d’objets rassemblés au fil de ses pérégrinations, en majorité en provenance du Sri Lanka. Bonne nouvelle, il a ensuite décidé de l’ouvrir au public pour présenter sa collection aux intéressés. La maison accueille non seulement une collection d’objets anciens, mais aussi des expositions temporaires régulières, mettant en avant des artistes contemporains venus du Sri Lanka ou d’autres pays. Le Docteur Soulié est très accueillant nous nous sommes tout de suite sentis très à l’aise, lui posant une foule de questions tantôt sur la vie d’expatrié au Sri Lanka, tantôt sur les objets rassemblés dans sa maison une véritable caverne d’Ali Baba !. Que de merveilles, et quelle belle manière d’apprendre plein de choses sur la culture Sri Lankaise ! Rien de tel que de parler avec un vrai passionné… Plusieurs options de visite sont possibles la visite simple, qui comprend la visite ainsi qu’un rafraîchissement qui s’est avéré être très généreux, d’ailleurs, ou bien des visites avec déjeuner ou dîner et même des démonstrations culinaires. Vu la beauté du lieu et la qualité de l’accueil, cela peut vraiment être très sympa d’y passer un peu plus de temps nous sommes restés plus de 2h à discuter et aurions certainement pu continuer ! Dans tous les cas, les visites se font uniquement sur réservation, au moins 24h à l’avance. Le Centre d’Art et de Culture Suriyakantha est situé à Handessa, à 10km au sud-ouest de Kandy. Une idée peut-être de grouper cette visite avec celle du Jardin Botanique, qui est sur la route, et éventuellement d’un soin ayurveda. 6. Faire un soin d’Ayurveda Par une journée pluvieuse, nous avons opté pour une demi-journée dans un centre d’ayurveda au lieu de la randonnée dans les knuckle mountains initialement prévue. Une excellente solution de repli qui nous a fait grand bien ! Nous sommes allés au Suwa Rakshana Weda Madura, situé à Pilimathalawa 10km au sud-ouest de Kandy, après Peradeniya où se trouve le jardin botanique. Le transport depuis et vers Kandy est offert aller simple ou aller retour en fonction de la durée du soin choisi et du nombre de personnes. Nous avons opté pour le soin de 2h, incluant un massage de la tête, du visage, du corps et des pieds, puis un bain de vapeur et un shirodhara un modelage du front par écoulement régulier d’un filet d’huile tiède, apparemment excellent pour la relaxation. J’ai beaucoup apprécié l’ensemble. De plus, le lieu était globalement agréable même si la propreté de la salle de bain où l’on prend la douche à la fin du soin laissait à désirer. Accueil sympathique par la propriétaire des lieux, médecin ayurvédique travaillant également à l’hôpital. Il semble que l’on soit entre de bonnes mains 😉 7. Visiter un Jardin d’épices à Matale À 25km au nord de Kandy, à Matale, se trouvent une succession de jardins d’épices proposant des visites. Celles-ci sont gratuites mais on vous invite bien sûr à jeter un oeil ensuite à la boutique… C’est de bonne guerre ! Un grand nombre d’épices sont vraiment cultivées dans cette région il ne s’agit donc pas uniquement d’une attraction touristique, même si cela reste extrêmement populaire auprès des cars de touristes 😉 Si vous n’en avez jamais vu et que vous passez par là en faisant la route de Dambulla à Kandy par exemple, la visite peut valoir le coup on réalise soudain que l’on ne sait même pas reconnaître du poivre, que l’on utilise pourtant tous les jours, ou encore de la muscade, par exemple. Il est intéressant d’en apprendre davantage sur toutes ces plantes ! J’avais déjà fait une visite similaire en Inde, à Munnar, et avais apprécié. En revanche, je ne vous conseillerais pas d’y aller spécialement depuis Kandy si vous n’avez pas prévu de passer par-là . Le Guide Tao du Sri Lanka que j’aime bien! recommande particulièrement le jardin numéro 88 ils sont tous numérotés et le long de la route, c’est facile si c’était à refaire, c’est là que j’essaierais d’aller. 8. Assister à un spectacle de danses Autant vous le dire tout de suite j’ai assisté à un spectacle mais c’est le genre d’activité dont je ne suis pas fan du tout, d’autant que les spectacles de danse ont lieu dans de grandes salles remplies de cars de touristes… Cela étant dit, les danses font partie intégrante de la culture de Kandy ce sont ces danses que l’on peut voir entre autres lors de la grande fête annuelle de Perahera dont je vous parle dans le prochain paragraphe. Aller voir ces danses, ce n’est donc pas assister à un spectacle folklorique réservé aux touristes contrairement aux apparences! mais vraiment plonger dans la culture locale. Si vous aimez les spectacles de danse, je ne peux donc que vous inciter à aller en voir un ! Plusieurs salles en proposent à Kandy durée 1h , je ne peux pas vous dire s’il y en a une mieux que l’autre. 9. Assister à l’Esala Perahera Esala Perahera est LA grande fête de Kandy! Il s’agit de la plus importante fête bouddhiste du Sri Lanka et de la plus grande procession religieuse d’Asie, rien que ça ! Elle a lieu tous les ans au mois d’août et dure 10 jours, durant lesquels ont lieu de grandes parades à la nuit tombée une copie de la relique de la dent du Bouddha est transportée à travers la ville. Les parades vont crescendo au fil des jours, changeant d’itinéraire dans la ville, l’apogée de la fête est le dernier jour, avec le Randoli Perahera. Le hasard a fait que je me suis trouvée à Kandy exactement à ce moment-là , pour les premiers jours de la fête oui, c’est incroyable mais je n’y avais pas fait du tout attention lorsque j’ai fait l’itinéraire !. Je ne suis d’une manière générale pas une grande adepte de ce genre de manifestation, qui attire une immense foule, mais puisque j’étais là , j’étais contente d’aller y assister cela fait vraiment partie de la culture du pays ! Au programme de l’Esala Pesahera, des danseurs, musiciens, acrobates, cracheurs de feu et éléphants… Voir ces derniers avancer, avec toutes leurs chaînes, m’a fait mal au cœur je dois dire. Sinon, il faut reconnaître que le spectacle est assez grandiose ! Comment assister à Esala Perahera ? J’ai choisi de ne pas payer une place assise vendue hors de prix mais plutôt d’y aller en improvisant. Je n’avais pas très envie de dépenser une somme énorme pour un spectacle dont je me lasserais certainement après 1h, je me connais ! 😉 Pour info, les places assises sont vendues par les commerces se trouvant sur la route des parades, qui installent des chaises en plastique sur le trottoir et les monnaient à prix d’or. Une autre option peut être de s’installer très tôt sur les trottoirs, comme les Sri lankais. Les parades sont en fin de journée mais de nombreuses personnes s’installent dès le matin pour être sûrs d’avoir une bonne place. Sinon, ne rien préparer, y aller au dernier moment et essayer de voir un peu du spectacle parmi la foule est la dernière option. C’est ce que j’ai fait, et ce n’était franchement pas mal ! J’ai réussi à plutôt bien voir pour les photos, c’est une autre histoire mais je voyais bien ! et ai apprécié de rester là une heure environ puis de pouvoir partir à ma guise sans gêner personne. 10. S’immerger dans la vie locale grâce à l’agence J’aime Le Monde Mon copain blogueur Julien de J’aime le Monde est tombé amoureux du Sri Lanka il y a quelques années. À force d’y passer beaucoup de temps et de conseiller les gens sur leur voyage, l’idée de monter sa propre agence a progressivement germé… Et s’est désormais concrétisée! Julien s’est associé à Raja de Trek Lanka pour cette nouvelle aventure et m’a proposé de tester deux des activités proposées à leurs voyageurs. Des activités permettant de vivre des expériences authentiques avec des locaux, voilà qui est au cœur de l’état d’esprit de l’agence ! Notez qu’il n’est pas possible de réserver ces activités sans programmer un voyage avec l’agence l’idée n’est pas que les locaux participants ne fassent plus que ça, et on ne peut donc pas leur envoyer trop de monde. J’aime néanmoins beaucoup la démarche de Julien et ai donc choisi de vous en parler… Et si jamais vous cherchez une agence, cela peut valoir le coup de tester ! 😉 J’ai d’abord eu la chance de rencontrer Maître Jayé, maître tambourineur depuis plus de cinquante ans! Qu’est ce qu’un maître tambourineur ? Il s’agit de la personne qui joue du tambour et donne le rythme lors des processions religieuses. Nous nous rendons chez lui et il nous montre quelques vieilles photos il a fait des couvertures de journaux étant plus jeune lorsqu’il défilait pour Pesahera !, puis le costume et nous fait une démonstration. Il est impressionnant de plonger dans son univers et de voir la minutie et la fierté avec laquelle il enfile encore cette tenue malgré son grand âge. Maître Jayé tambourine moins qu’avant car il est désormais fatigué, mais il était encore au temple le matin même du jour où nous l’avons rencontré. Nous avons la chance de l’entendre jouer sur différents tambours, qui sont utilisés à des occasions différentes… Et même de pouvoir essayer mais c’est assez catastrophique en l’occurrence, je ne maîtrise pas du tout !. Nous repartons vraiment ravis de cette belle rencontre ! Nous allons ensuite chez Ganga pour un petit cours de cuisine sri lankaise. Au menu, pittu et rice & curry ! La météo est un peu pluvieuse ce jour-là et nous cuisinons en imperméable, mais le jardin est agréable et c’est amusant ! Nous apprenons à faire un pittu, ces gros rouleaux préparés à base de farine de riz et de coco, puis du lait de coco qui sera utilisé dans les différents currys. Ganga me montre les bons gestes pas toujours évident !, quelles épices utiliser, comment couper certains légumes…Progressivement, une bonne odeur envahit le jardin. Il est ensuite temps de passer à table. Outre les plats que nous avons préparés ensemble, Ganga a cuisiné pour un régiment ! Un déjeuner succulent nous attend, que l’on mange à la mode sri lankaise c’est à dire… Sans couverts et avec la main droite exclusivement ! Ouch, ce n’est pas facile lorsque l’on n’est pas habitué 😛 Encore un très beau moment, en tout cas ! Plus d’infos sur les voyages proposés par Julien ici. Bonnes adresses à Kandy Hôtels à Kandy – Où dormir? Gruhaya Hotel Le Gruhaya Hotel est un petit bijou. Il est situé dans une grande maison rénovée et décorée avec beaucoup de goût et possède seulement 5 chambres. On retrouve quasiment l’atmosphère d’une chambre d’hôtes, d’autant que le Gruhaya Hotel possède de belles parties communes librement accessibles et que le personnel est vraiment aux petits soins. De plus, il est idéalement placé au calme tout en étant à 15 minutes à pied du centre-ville de Kandy, c’est assez idéal. Enfin, les repas servis sont délicieux de la vraie cuisine sri lankaise préparée dans la cuisine de la maison. Grand Kandyan Hotel Changement d’atmosphère, le Grand Kandyan Hotel est un hôtel 5 étoiles situé sur les hauteurs de Kandy. Ambiance marbre, dorures et déco chargée un peu partout, ce n’est pas ce que je préfère mais il faut reconnaître que le hall d’entrée a de l’allure, avec son immense patio intérieur. Enorme point fort de cet hôtel, son confort et sa piscine sur le toit le roof top possède une belle vue sur Kandy et ses alentours! Beaux buffets pour les repas également. Cafés et restaurants à Kandy – Où manger? Nous avons dégusté de très bons repas traditionnels au Gruhaya Hotel, et avons sinon testé quelques cafés pour changer un peu. Jus de Fruits Jus de Fruits est un minuscule café proposant essentiellement de la vente à emporter mais comportant aussi quelques tables. Excellents jus de fruits frais et vitrine avec quelques snacks sri lankais salés ou sucrés. Délicieux! Empire cafe Pour une adresse un peu trendy qui change un peu, rendez-vous à l’Empire Café. Un lieu que je vous conseille pour boire un jus de fruit frais et manger une part de gâteau même si c’est cher, on paie le cadre bien sûr, mais pas pour un repas. La carte est alléchante mais les assiettes décevantes et bien trop chères. Café Walk Là encore, une adresse sympa pour manger une part de gâteau ou déjeuner/dîner sur le pouce. Nous avons atterri au Café Walk car nous ne trouvions pas grand chose d’ouvert à une heure tardive un soir de Pesahera, et avons trouvé le rapport qualité-prix correct pour des plats plus occidentaux. Accès venir à Kandy / partir de Kandy Voici les distances et trajets en train/bus pour quelques villes d’où vous pourriez vouloir venir / aller après Kandy Distance Colombo – Kandy 120 km. Il est facile de prendre le train Colombo Kandy ou vice versa. Il y en a plusieurs par jour et cela prend environ 2h30 parfois plus en fonction des trains. Distance Dambulla – Kandy 85km. Les bus Dambulla – Kandy sont très réguliers, toutes les 20/30 minutes environ en journée. Il faut compter environ 2h/2h30 de trajet oui cela varie pas mal, comme toujours au Sri Lanka d’ailleurs. Si besoin, vous pouvez aussi voir ici les trajets en bus depuis Dambulla pour Sigiriya ou Polonnaruwa en fin d’article. Distance Kandy – Nuwara Eliya 75km. Le trajet en train de Kandy à Nuwara Eliya est l’un des plus beaux du Sri Lanka, et sans doute du monde! Il dure 4h mais on ne voit pas le temps passer tellement il y a de beaux paysages à admirer. Il s’agit du train qui va de Kandy à Ella. Si vous voulez aller à Nuwara Eliya, arrêtez-vous à la gare de Nanu Oya à 10km de Nuwara Eliya puis prenez un tuk-tuk. Je suis allée deux fois à Kandy j’ai été invitée la première fois par l’Office de Tourisme du Sri Lanka et y suis retournée la deuxième fois par mes propres moyens. Comme toujours, je suis restée libre de mes choix éditoriaux! Pour être claire, personne ne m’a obligé à parler de ce dont je vous parle dans l’article
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